samedi 22 février 2014

La vérité éclate au grand jour, comme nous l'annoncions c'est une réforme qui va coûter cher aux familles!!!


Le Point.fr - Publié le - Modifié le

Cet "énième impôt vise à payer une réforme dont le contenu pédagogique est très incertain et loin d'être prioritaire", affirme le président de l'UMP.

Jean-François affirme que le coût de la réforme des rythmes scolaires va retomber sur les familles.
Jean-François affirme que le coût de la réforme des rythmes scolaires va retomber sur les familles. © Franck Perry / AFP



Jean-François Copé, président de l'UMP, a affirmé vendredi qu'une "taxe Peillon" commence à se mettre en place pour financer la réforme des rythmes scolaires, et que "ce énième impôt est insupportable". Le maire de Lyon "Gérard Collomb vient d'acter le fiasco financier de la réforme des rythmes scolaires en annonçant qu'il allait faire payer les familles", affirme Jean-François Copé dans un communiqué. "En décidant de créer un forfait qui coûtera aux parents jusqu'à 20 euros par an et par enfant pour financer la réforme des rythmes scolaires, Gérard Collomb confirme les difficultés d'organisation et le coût caché d'une réforme bâclée et non financée", ajoute Jean-François Copé.
Selon lui, "dans d'autres villes de France, la facture est aussi présentée aux familles, comme à Mandeure dans le Doubs, où les parents devront débourser 20 euros par mois". "Depuis des mois, avec des milliers de maires, de parents, de professionnels de l'Éducation de droite comme de gauche, je tire le signal d'alarme sur la réforme des rythmes scolaires dont le coût retombera inévitablement sur les communes et les familles", poursuit-il.

"La vérité éclate au grand jour"

Pour Jean-François Copé, "aujourd'hui, la vérité éclate au grand jour. Voici donc la taxe Peillon qui se met progressivement en place, comme je l'avais annoncé, dans toutes les communes de France. Cet énième impôt est insupportable alors que la pression fiscale est devenue insoutenable pour les Français, notamment les familles nombreuses qui sont ponctionnées comme jamais".
"Il est insupportable, car il vise à payer une réforme dont le contenu pédagogique est très incertain et loin d'être prioritaire (...) Le moyen le plus sûr d'obtenir l'annulation de la taxe Peillon est de sanctionner sévèrement la gauche lors des prochaines élections municipales", affirme-t-il également. Le maire de Lyon, candidat à sa succession, a annoncé mardi dans Le Progrès qu'il fixerait un "forfait annuel compris entre 10 et 20 euros" pour financer la réforme des rythmes scolaires, rapporte Le Figaro de vendredi.

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