samedi 22 février 2014

Dépot du recours auprès du conseil d'état

                     

                       

les lecteurs assidus de ce blog ont peut etre compris que la nouvelle version que m'impose overblog pour publier me pose milles difficultés et que j'ai vraiment du mal !
j'aimerai tant revenir a la version précédente !
le depot du recours au conseil d'état suscite bien des impatience set la mienne la première ! mais je ne sacrifierai rien a l'idée de se donner toutes les chances de succés
je subis une pression phenoménale de chaines de télé qui voudraient me filmer entrain d'aller physiquement déposer le recours au palais royal,de celles qui voudrainet l'exclusivité du document
,c'est flatteur ,peut être ,pour l'égo, mais cela ne doit ,en aucun cas, faire perdre les fondamentaux et l'objet de notre combat  : la victoire
ce n'est pas par calcul que nous avons été la première commune a dire non et si un député de lozere qui m'avait demandé mon mémoire" par interet intellectuel" vient de se precipiter a déposer un recours en utlisant ce que je lui ai transmis cela n'a aucune importance,heureux pour lui s'il est  "le premeir maire a déposer un recours" ces courses là n'ont aucun interet
plus on est de fous, mieux on se porte et surtout pyus nos parlementaires jusqu'alors pétrifiés dans le silence ,se bougeront mieux nous nous porterons
,et je soupire  : enfin !
je sais que cela va donner lieu a une bousculade malsaine,mais si le succes est au bout ,nous les observerons dans leur indécence,comme certains résistants de la dernière heure,il y en a dans toutes les batailles ,enfin celles qui qui aboutissent a une victoire
pour ne revenir au dépot,depuis des jours ,nous affinons le mémoire,c'est vrai que ,par exemple,le courrier du député des bouches du rhone a jean marc ayrault m' a semblé riche en suggestions,
le travail  de benedictin de jean raage https://www.facebook.com/groups/609556085733767/679340905421951/
et les liste des communes qui ont deja  dit non ,pourrait bien figurer dans les annexes et ainsi de suite
ce recours sera déposé dans la semaine qui vient mais je ne sacrifierai rien a ce qu'il soit le mieux ficelé possible,c'est le bon sens qui nous guide,,les pieds sur terre et la certitude de la justesse de la cause,par respect pour tous ces hommes et ces femmes qui fondent  un bel espoir dans cette démarche ,je ne veux rien négliger. 
tout bascule :trosi députés sont sortis de leur reserve ,on me dit que 120 autres viennent de co signer un document,un peu partout ce qui était une curiosité dissidente devient la norme,des élus socialistes appellent a la raison, au report...sine dié
j'ai ,desormais la certitude que nous allons gagner,qu'il n'en faut plus beaucoup, qu'il faut se mobiliser et multiplier la pression sur tous les fronts ,il faut qu'aux municipales,les listes qui se presentent aient une position claire et tranchée par rapport a cette réforme
il faut que les parents d'élèves puissent voter en connnaissance de cause et refuser ,les grands courageux qui osent dire "on en parlera après les elections"
je me tiens a la dispostion de chacun et s'il faut aller parler de cela dans vos communes dans la mesure de mes moyens et de mon emploi du temps ,je le ferai
mobilisez pour les 15 mars a pris et strasbourg et pour le 16 mars a marseille,nous organisons de janvry des cars et nous allons inviter les communes de l'essonne a en faire autant,et je suuis bien tenté de sauter le 16 mars dans un avion pour aller a marseille mais ils refusent les dromadaires en soute !  
battons nous pour en faire une vistoire collective pour que demain nous retrouvions pour écrire une reforme des rythmes scolaires digne de ce nom.

source: http://www.christianschoettl.com/2014/02/d%C3%A9pot-du-recours-aupr%C3%A8s-du-conseil-d-%C3%A9tat.html

Michel Facompré, maire de Faumont:"je suis prêt à mettre des cadenas et des chaînes sur les grilles de l'école"

téléchargement: fichier pdf

La vérité éclate au grand jour, comme nous l'annoncions c'est une réforme qui va coûter cher aux familles!!!


Le Point.fr - Publié le - Modifié le

Cet "énième impôt vise à payer une réforme dont le contenu pédagogique est très incertain et loin d'être prioritaire", affirme le président de l'UMP.

Jean-François affirme que le coût de la réforme des rythmes scolaires va retomber sur les familles.
Jean-François affirme que le coût de la réforme des rythmes scolaires va retomber sur les familles. © Franck Perry / AFP



Jean-François Copé, président de l'UMP, a affirmé vendredi qu'une "taxe Peillon" commence à se mettre en place pour financer la réforme des rythmes scolaires, et que "ce énième impôt est insupportable". Le maire de Lyon "Gérard Collomb vient d'acter le fiasco financier de la réforme des rythmes scolaires en annonçant qu'il allait faire payer les familles", affirme Jean-François Copé dans un communiqué. "En décidant de créer un forfait qui coûtera aux parents jusqu'à 20 euros par an et par enfant pour financer la réforme des rythmes scolaires, Gérard Collomb confirme les difficultés d'organisation et le coût caché d'une réforme bâclée et non financée", ajoute Jean-François Copé.
Selon lui, "dans d'autres villes de France, la facture est aussi présentée aux familles, comme à Mandeure dans le Doubs, où les parents devront débourser 20 euros par mois". "Depuis des mois, avec des milliers de maires, de parents, de professionnels de l'Éducation de droite comme de gauche, je tire le signal d'alarme sur la réforme des rythmes scolaires dont le coût retombera inévitablement sur les communes et les familles", poursuit-il.

"La vérité éclate au grand jour"

Pour Jean-François Copé, "aujourd'hui, la vérité éclate au grand jour. Voici donc la taxe Peillon qui se met progressivement en place, comme je l'avais annoncé, dans toutes les communes de France. Cet énième impôt est insupportable alors que la pression fiscale est devenue insoutenable pour les Français, notamment les familles nombreuses qui sont ponctionnées comme jamais".
"Il est insupportable, car il vise à payer une réforme dont le contenu pédagogique est très incertain et loin d'être prioritaire (...) Le moyen le plus sûr d'obtenir l'annulation de la taxe Peillon est de sanctionner sévèrement la gauche lors des prochaines élections municipales", affirme-t-il également. Le maire de Lyon, candidat à sa succession, a annoncé mardi dans Le Progrès qu'il fixerait un "forfait annuel compris entre 10 et 20 euros" pour financer la réforme des rythmes scolaires, rapporte Le Figaro de vendredi.